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LA GUADELOUPE - INFORMATIONS PRATIQUES

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FORMALITES ADMINISTRATIVES
Carte d'identité en cours de validité.
Attention : si vous voulez en profiter pour vous rendre dans les îles hors Caraïbes françaises (comme Saint-Martin), un passeport en cours de validité est nécessaire.

 

CLIMAT
Il fait chaud et la température de la mer peut dépasser 29 °C de juillet à octobre et ne descend jamais au-dessous de 24 °C durant la saison sèche. Concernant l'air ambiant, la fraîcheur existe dans les hauteurs.
En gravissant la Soufrière, vous découvrirez plusieurs étages climatiques, chacun avec ses fruits et sa végétation spécifiques.

De décembre à avril, c’est la saison sèche, appelée carême et c'est la plus agréable.
De mi-juin à novembre, c'est la basse saison, également appelée l'hivernage. L'air (30 °C) est lourd, voire étouffant, ne rafraîchit pas l'atmosphère, et les après-midi sont pluvieux.
Durant la saison humide, les côtes orientales, dites « au vent », sont plus arrosées que les côtes occidentales, dites « sous le vent ».

Mai, juin et novembre sont des mois plutôt agréables, et mai et juin sont vraiment propices pour découvrir la Guadeloupe en fleurs.
Les cyclones sont plutôt en août et septembre.

 

DECALAGE HORAIRE
Décalage de moins 6h l’été et moins 5h l’hiver.

 

DEVISE
L’Euro (€)

Les cartes de paiement sont acceptées dans la plupart des commerces. Mais attention, ce n’est pratiquement jamais le cas dans les gîtes et les chambres d’hôtes, comme en métropole.

 

LANGUE
FRANÇAIS et entre locaux LE CRÉOLE

 

RELIGION
Majorité catholique.

 

SANTE
Elle est soumise aux mêmes normes et réglementations sanitaires que la métropole. En conséquence, n’oubliez pas d’apporter votre carte Vitale voire la carte européenne d'assurance maladie pour les ressortissants de l'Union européenne.

Les yen-yens, de minuscules moucherons très pénibles qui ressemblent à de tout petits moustiques, sont un véritable fléau et piquent non-stop. Méfiance, donc, dès que le temps change ou quand la nuit tombe.

 

TRANSPORT
Le bus est à la fois pratique, vivant, et économique pour découvrir l’île et sa population à condition d’avoir du temps devant soi. Noter que les bus sont moins nombreux les mercredi après-midi et samedi après-midi, et qu’ils ne circulent pas du tout les dimanche et jours fériés. Et cela est valable pour toute l’île.

La location de voiture est la meilleure solution, quand on veut être libre de ses déplacements.
Prévoir des frais de surcharge d'aéroport (environ 25 €) avec certaines et également de rendre le véhicule propre (dedans comme dehors) : c’est une exigence courante chez les loueurs guadeloupéens.

N'oubliez jamais dans vos calculs du temps de trajet car il y a beaucoup d’embouteillage.

À part les scooters aux Saintes, on ne vous conseille pas cette formule car en Guadeloupe les gens roulent très vite. Sable dans les virages, rétrécissements soudains, conducteurs ivres venant en face, dos-d’âne non matérialisés... Les dangers sont partout.

Le bateau est pratique pour passer d’une île à l’autre par contre bien vérifier si le départ annoncé est bien maintenu et il est préférable de prendre son billet la veille.

 

VIE PRATIQUE
Même prise qu’en métropole donc pas besoin d’adaptateur.

 

TELEPHONE
Même nombre de numéros qu’en métropole et les téléphones fixes commencent par 05-90 et les portables par 06-90, à composer sans préfixe depuis la métropole.

Depuis ou vers la métropole, avec les formules d’abonnements illimités sur les postes fixes, la gratuité est de mise chez les opérateurs, y compris vers un portable.

 

CUISINE
La cuisine créole est un mélange de saveurs africaines, des parfums de l’Inde et de la cuisine de métropole.

Les poissons et fruits de mer sont très consommés.
Le vivaneau est un poisson excellent, en court-bouillon (au rocou, par exemple, délicieux condiment rouge orangé), en blaff (macéré au citron vert, puis juste saisi au court-bouillon) ou en grillade.
Le thazar, le marlin ou le requin se mangent plus volontiers en darnes grillées et steaks bien saisis qui révèlent toute leur saveur, ou encore fumés, voire en tartare.
La langouste est excellente. L’acheter plutôt à la poissonnerie du port. Elle est chère mais moins qu’en métropole.
Le chatrou (poulpe) est souvent servi en fricassée.

Quasiment tous les menus guadeloupéens proposent des acras en entrée, et souvent le boudin créole.
On trouve aussi des crabes farcis, en particulier les crabes blancs de terre.
Autre grand classique des restaurants : le colombo de poulet (curry de poulet, recette en provenance d'Inde).

On mange également le calalou (purée de légumes), le féroce (purée d'avocat à la morue hachée avec de la farine de manioc, le tout « férocement » pimenté), et le bébélé, une spécialité de Marie-Galante. Ce plat d'origine africaine consiste en une sorte de soupe épaisse dans laquelle on met du fruit à pain, des tripes, des légumes du pays, comme l'igname et le malanga, et des bananes-figues, dites poyos.

Le matété est le plat traditionnel de la Pentecôte (un équivalent antillais de la paella, avec des crabes de terre accompagnés de riz).

Le cabri, qui ressemble à de l’agneau, cuisiné en ragoût, en fricassée ou servi en colombo est la spécialité de la Désirade.

Si vous voulez manger sur le pouce, laissez-vous tenter par un bokit, sandwich local bon marché, contenant au choix viande, poisson, crudités.

Les épices prennent une place prépondérante dans la cuisine guadeloupéenne, mais elles ne viennent pas de l'île, pour la plupart. Pour en acheter, les marchés de nuit de Saint-François et de Sainte-Anne, sont conseillés.

Pour les fruits et légumes, il y a une grande variété dans l’archipel :
Les gombos : couleur verte, aspect de piment, en plus gros.
L'igname : tige grimpante dont on fait bouillir les racines. Il en existe diverses variétés. On la sert en purée ou en pain.
Le manioc : grosses racines épluchées, râpées, pressées, séchées au four et broyées en farine dans les manioqueries communautaires des villages.
La canne : sucer la pulpe comme un bâton de réglisse. On en trouve aussi sur les bords de route des étals où l'on propose du jus de canne.
La christophine : sous l'aspect d'une poire un peu bosselée, jaune pâle ou vert clair, c'est un légume des plus délicat. Verte, elle se mange en salade ; mûre, en gratin. Délicieux.
Le giraumon : avec sa couleur laiteuse, il évoque une pita gonflée ayant un léger goût de potiron. Excellent en purée.
La carambole : petit fruit jaune à la forme curieuse qui se consomme essentiellement en jus.
La patate douce : couleur rose ou orangée, goût légèrement sucré. Se mange en légume, bien sûr, mais sert aussi pour la préparation des desserts.
Le corossol : une panse verte hérissée d'épines. On dit qu'il préserve de la grippe et même des coups de soleil. Comme la carambole, on le consomme surtout en jus.
La goyave : petit fruit rose, au goût douceâtre et farineux. Excellent en jus. Très riche en vitamine C.
Le fruit de la Passion ou maracuja : fruit de la passiflore, ovoïde et lisse quand il est frais, qui renferme d’incroyables saveurs.
Les nombreuses variétés de bananes.

Et aussi il y a des papayes (vertes), litchis, citrons verts, pamplemousses (chadèques), fruits à pain, choux-pays, mangues (riches en vitamines), pommes-cannelle, sapotilles (à goût de caramel, en salades de fruits ou en glace), ananas, noix de coco.

Il existe également les sorbets coco, vendus et préparés par des marchands ambulants, les « tourments d’amour », merveilleuses tartelettes originaires des Saintes.

Le rhum est la boisson la plus consommée en Guadeloupe en dehors des jus de fruits frais.

 

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