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PHILIPPINES - INFORMATIONS PRATIQUES

philippines carte monplanvoyage

 

FORMALITES ADMINISTRATIVES
Un passeport valable au moins 6 mois après la date de retour et un billet de retour ou de continuation est nécessaire.


Pour un séjour de plus de 30 jours, 2 possibilités :
Demander un visa avant le départ auprès d'une ambassade philippine. Il faut fournir :
• des photocopies du passeport et de la carte nationale d'Identité ;
• un formulaire officiel de l'ambassade des Philippines ;
• une photo d'identité ;
• une attestation de voyage aller-retour ;
• une copie du dernier relevé de compte (solde mensuel minimum : 1 000€).

Ou prolonger sur place de 29 jours l'exemption de visa.

 

CLIMAT
Il y a 3 saisons :
• tag-init ou Tag-araw : la saison chaude, ou l’été, de mars à mai.
• tag-ulan : la saison des pluies, de juin (ou juillet) à octobre-novembre.
• tag-lamig : la saison froide, de décembre à février.

La meilleure saison est sans doute la période la plus fraîche et la plus sèche entre décembre et février avec des températures moyenne de 30°C. Ceci est valable pour la majeure partie de l'archipel : région de Manille, nord-ouest de Luzon, côtes Ouest des Visayas et tout Palawan.

Attention cependant : sur les côtes Est de Luzon et de Samar, et au nord-est de Mindanao, les pluies sont encore très intenses.

Situées sur la trajectoire des typhons de l’Asie, les Philippines sont traversées par une vingtaine de cyclones chaque année de mi-août à mi-septembre.

 

DECALAGE HORAIRE
Plus 06h00 en été à Manille et plus 5h00 en hiver.

 

DEVISE
Le peso philippin (PHP).

L'euro étant très bien accepté, il n'est pas nécessaire d'acquérir des dollars avant le voyage.

Les bureaux de change de l'aéroport n'offrent pas les meilleurs taux, se contenter d'une somme pour démarrer le voyage.
Quasiment toutes les banques ont un service de change. On trouve également des bureaux de change dans les plus grandes villes et zones touristiques de l’archipel. Ces derniers proposent souvent de meilleurs taux.

Mis à part certaines zones rurales, ils sont devenus omniprésents dans le pays.

Attention: depuis quelques années, les retraits à l'étranger sont rapidement limités par les banques, à moins qu'elles ne soient prévenues de votre séjour à l'étranger et de ses dates.
Le paiement par carte de paiement est devenu courant dans les hôtels, commerces et restaurants des grandes villes mais reste très rare en petite boutique et dans les campagnes.

 

LANGUE
Le PHILIPPIN et l’ANGLAIS.

 

RELIGION
A majorité chrétien.

 

SANTE
Il est recommandé de faire le vaccin contre l'hépatite A et la typhoïde et d'être à jour sur les vaccins universels.

Pas de vaccin obligatoire.

L’infrastructure médicale est souvent très insuffisante. Il est conseillé de souscrire une assurance-rapatriement.

Le traitement antipaludique est recommandé.

Eviter de boire l’eau du robinet.

On veillera à consommer les aliments (viandes, œufs, fruits et légumes) bien cuits, et à se laver régulièrement les mains.

 

TRANSPORT
À Luzon, on a le choix entre les jeepneys, les bus publics et les taxis. On trouve également de nombreux tricycles, ces motos équipées de side-cars. Il faut négocier le tarif avant le départ.

À Manille, on utilise, en plus de ces moyens de transports, le métro urbain (Light Rail Transit) et le Metro Tren. Ces métros servent à relier Manille aux autres villes du Metro Manila

À Cebu, on opte pour les bus (moins confortables que ceux de Luzon), les minibus, les taxis publics ou les jeepneys.
Palawan et ses villes sont traversés par de nombreux side-cars. Les routes sont aussi fréquentées par des bus et des jeepneys.

À Boracay, la plupart des distances se couvrent à pied. On peut aussi louer des vélos, des motos ou des « tricycles ».

À Bohol, on utilise des bus publics, des taxis, des jeepneys et des tricycles.

À Mindoro, on se déplace en tricycles et en jeepneys.

Le bateau est un moyen de transport majeur aux Philippines. Des compagnies maritimes relient régulièrement Manille aux ports principaux. Des ferries et hydroglisseurs font la navette entre les îles principales et les îles mineures. On déconseille de prendre un ferry pendant la saison des pluies (de mai à décembre).

Pour relier îles (villes et plages) par la mer, on trouve partout des catamarans typiques, nommés bancas (sortes de pirogues motorisées).

En raison du mauvais état du réseau routier, de l'intensité du trafic et de la conduite quelque peu brutale (voire risquée) des Philippins, il est quand même conseillé, pour quelques dollars de plus, de louer une voiture avec chauffeur.

Sur Luzon, une ligne ferroviaire relie Manille à Naga.

 

VIE PRATIQUE
Besoin d’adaptateur.

Tenue vestimentaire : habillez-vous en conséquence quand vous visitez une église ou vous rendez à une administration, comme les bureaux d'immigration. Le reste du temps, les tenues décontractées (bermuda, tee-shirt) font partie du quotidien.

On tisse des liens facilement avec ce peuple qui a le sens de l’accueil, en particulier dans les petits villages des îles. On vous ouvre grand les portes des lieux peu fréquentés

Les Philippins sont chaleureux, souriants et se prêtent volontiers aux portraits.

 

TELEPHONE
De la France vers les Philippines : 00 + 63 + indicatif de la ville + numéro local du correspondant.
Des Philippines vers la France : 00 + 33 + numéro du correspondant sans le 0 initial.

 

CUISINE
L’exotique, le succulent, l’épicé, le sucré, l’acidulé... tout cela se mélange dans la cuisine philippine.

On mange ou au moins picore à tout moment de la journée, par exemple dans des gargotes ou des self-services appelés turo-turo (« montrez, montrez »). Un bon point : les portions sont toujours copieuses.

Le riz constitue l’aliment de base. Cuit le plus souvent à sec et nature, il est régulièrement servi avec du poulet, porc, poisson ou des crevettes et une sauce salée, le bagoong, une sorte de nuoc-mâm à base de poissons et de crabes fermentés.

Le lait de coco est très utilisé pour les cuissons des viandes et poissons.

La célébrité nationale est le cochon de lait (lechón) rôti. Mariné dans le vinaigre et le soja, il est rôti à la broche en étant régulièrement enduit d’un mélange de lait et d’huile jusqu’à ce que la peau soit dorée, à la fois craquante et fondante, puis servi avec une sauce épicée ou douce amère.

Les pansit (nouilles sautées) et lumpia (rouleaux de printemps) sont également venues de Chine et sont très populaires.

L’adobo, autre plat national philippin, ragoût de viandes épicée tout comme les mechado et menudo , et le pochero ou pot-au-feu ont été apportées par les Espagnols.

Présent à tous les repas, le poisson est d’une variété rarement égalée ailleurs.
Dans n’importe quel talipapa ou marché local, vous verrez du poissons au détail tel que poisson-chat, poisson-perroquet, maya-maya, raie manta, crabes de toutes tailles et de toutes les couleurs...).
Poisson national, le lapu-lapu (cousin du mérou) est rouge et sans arêtes, c'est l’un des plus fréquents dans les restos. Il est le plus souvent grillé, un mode de cuisson également favorisé pour les fruits de mer et crustacés (à consommer de préférence cuit).
Plus vous allez vers les îles du Sud, plus le poisson est frais et délicat.

Parmi l'abondance de légumes, citons deux exotiques, le choux chinois et les moins connues crosses de fougères (ou « têtes de violon ») qui accompagnent à merveille les plats de viande.

Préparée avec la moelle du palmier sagoutier, le sagou, farine riche en amidon, se conserve plusieurs mois, sous forme de bloc, ou en poudre, dans de grosses jarres décorées. Mélangée à de l’eau, on en fait des galettes ou boulettes frites ou une soupe épaisse accompagnant les repas au même titre que le riz.

Le petit déjeuner philippin typique est composé de riz avec un œuf, accompagné de saucisse longganissa, de porc au miel tocino, de bangus (un poisson également appelé Milkfish), ou de bœuf.

La cuisine étant déjà pas mal sucrée, les desserts le sont d'autant plus.
Incontournable, le halo-halo rassemble fruits en sirop, noix de coco, maïs, glace pilée, lait concentré, caramel, glace et autres ingrédients.
Le pomelo, le durian, l’avocat et le bucomelon (melon jaune) sont souvent transformés en glaces.
Au rayon surprise, les salades de macaronis, accompagnées d’un cocktail de fruits et d'une mayonnaise sucrée !
Plus rassurant, le leche-flan, un flan aux œufs.

Les fruits sont généralement délicieux et très variés.

Concernant les boissons, le thé est au Philippine supplanté par le café, dont la culture remonte à la fin du 18e siècle.
Le buko : jus de jeune noix de coco, bu à même l’écorce.
Le jus de calamansi, sorte de citron vert, est très rafraîchissant.
Et bien sûr, les jus de mangue, papaye, etc.
Pour les alcools, la bière locale est très consommée.

 

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