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MAYOTTE - INFORMATIONS PRATIQUES

 

mayotte carte monplanvoyage

 

FORMALITES ADMINISTRATIVES
Carte d’identité ou passeport en cours de validité.

 

CLIMAT
Il n’y a pas d’hiver, mais une saison sèche, dite « fraîche », d'avril à novembre (saison un peu plus longue que sur les autres îles comoriennes), avec des températures autour de 24-28 °C, de faibles précipitations).
Cette saison est particulièrement marquée sur la côte est, moins exposée.
Cette saison est la meilleure période pour aller à Mayotte.

La saison chaude est pluvieuse, de novembre à mai. Les températures sont plus chaudes entre 29 et 34 °C. Cette saison est marquée par des orages (surtout sur la côte Ouest, exposée à la mousson), mais aussi par des vents (surtout en janvier-février).

 

DECALAGE HORAIRE
Plus 1h en été à Mamoudzou et moins 2h en hiver.

  

DEVISE
L’euro (€).

Vous pourrez en retirer dans les distributeurs qui fleurissent désormais un peu partout sur l’île. Néanmoins, la majorité d’entre eux se trouvent à Mamoudzou ou en Petite-Terre. Ils tombent fréquemment en panne, pensez donc à retirer suffisamment à chaque fois. Les chèques et les cartes de paiement sont encore peu acceptés par les petits commerçants.

 

LANGUE
Le FRANÇAIS.

 

RELIGION
L’islam très tolérant.

 

SANTE
Pas de vaccin obligatoire mais Il est conseillé d'être à jour de ses vaccins universels (diphtérie, tétanos, polio, coqueluche, hépatite A et B).
Aucune vaccination n'est exigée pour les voyageurs en provenance d'Europe.

Mayotte dispose d’un réseau de plusieurs dispensaires, disséminés un peu partout sur l’île, et de deux hôpitaux, l’un sur Petite-Terre, l’autre sur Grande-Terre. La plupart des soins sont gratuits. Si besoin est, ils vous seront remboursés, comme en métropole.

Le paludisme est présent dans l’île, classifiée en zone 3. Même si la quasi-totalité des habitants ne se protège pas, il est conseillé de suivre un traitement antipaludique avant et pendant tout séjour de plus d'une semaine.

 

TRANSPORT
Les transports en commun ne sont pas vraiment développés. Il n’y a pas de train.

La voiture est le transport le plus adapté pour parcourir l’île et être autonome. Pour louer une voiture, il faut avoir au moins 21 ou 23 ans et le permis national suffit. Attention aux routes en mauvais état, parfois en terre, aux chauffeurs qui doublent dans les virages, aux éboulements, aux piétons et aux zébus qui marchent le long des routes, y compris de nuit.

Le taxi-ville roule sur Petite-Terre et dans Mamoudzou. Le chauffeur prend plusieurs personnes à la fois et s’arrête à la demande.
Les taxis-brousse prennent le relais des taxis-ville en zones rurales, aux extrémités de Grande-Terre. Ce sont des bus, le plus souvent climatisés. Ils circulent en Grande-Terre, au départ de Mamoudzou. Tarif en fonction de la distance.
Le véhicule part quand son chauffeur juge qu’il est suffisamment rempli.

Pour relier Grande-Terre et Petite-Terre, deux solutions : la barge et l'amphidrome dédié aux voitures et camions.
Réservée aux piétons et aux deux-roues, la barge est désormais un moyen de transport tout à fait sécurisé.

 

VIE PRATIQUE
Pas besoin d’adaptateur.

Les Mahorais sont accueillants et lient facilement contact avec les étrangers, surtout les enfants. À « Jeje bweni ? » (« Comment vas-tu ? », adressé à une femme), répondez « N’djema mounié ! » (« Ça va ! », adressé à un homme). Cela dit, on vous abordera surtout en français.

 

TELEPHONE
De la France vers Mayotte : 00 + 269 + indicatif de la ville + numéro local du correspondant.
Du Mayotte vers la France : 00 + 33 + numéro du correspondant sans le 0 initial.

Aujourd’hui, SFR a le monopole du réseau de téléphonie mobile (même si d’autres opérateurs se lancent désormais dans les cartes prépayées). Les communications restent très chères, que ce soit vers un fixe ou un portable mahorais.

 

CUISINE
La cuisine quotidienne est simple et peu variée. Elle s’articule autour d’une base de féculents : riz, manioc, bananes, ou fruits à pain (bouillis, frits, ou grillés). On retrouve cette cuisine chez les « mamas-brochettis », genre de snack de rue aux horaires et aux prix imbattables.

D’autres plats locaux, plus sophistiqués, rappellent les saveurs des tropiques.
Mataba : il s’agit de brèdes (feuilles comestibles au goût amer) de manioc, mijotées dans du lait de coco.
Pilao : plat à base de riz auquel on ajoute des morceaux de poulet ou de viande et des épices.
Rougail : accompagnement à base de tomates et d’épices, originaire de la Réunion.
Putu-Putu : sauce (très) pimentée servie à chaque repas pour rehausser le goût.

Sur les marchés, vous pourrez trouver du jus de baobab et du trembo, un jus extrait du palmier ou du cocotier, alcoolisé ou pas.

L’alcool n’est pas interdit, mais n’est pas vendu partout. On trouve de nombreuses bières et tous les restaurants proposent une carte des vins assez complète.

 

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